Je lui avait imaginé un ennemi qui lui était lié, voici une petite introduction sous forme d'un monologue, que j'ai écrit il y'a maintenant plus de 5 ans.Je suis retomber dessus par hazard et me suis dit que cette section était un peu vide alors j'ai voulut vous le partager. Soyez indulgent, jetait jeune et je nais jamais vraiment eu l'âme d'un écrivain et un orthographe digne des pire cancre de troisième année de maternelle.
- Code : Tout sélectionner
« Te voici enfin !! Hubert Félix Van Carstein, tu ne me connais pas mais pourtant mon destin est lié au tient, c’est grâce à toi que je suis devenu un seigneur de la nuit tout comme toi.
Il y’a près de 200 ans, j’était un fier, courageux mais naïf humain au service de la Dame du Lac sous la tutelle de Philibert de lorraine, qui, bien que son nom ne t’évoque plus rien aujourd’hui, était également lié à toi par les ficelles du destin… et c’est par ta lame que sa tête tomba alors qu’il venait à peine de prendre le contrôle des terres de ce fourbe de Bertrand dit « le Bon Vivant », triste fin pour un homme de sa trempe…
Apres ce carnage, un grand nombre de chevalier du royaume de Bretonnie se lanças à ta poursuite, je faisais à l’époque partie de ceux ci, et partit par la même occasion à la recherche du St Graal, que je ne trouva jamais d’ailleurs…
Durant des années je t’ais chercher, je savais que ma véritable quête consistait à t’enlever cette flamme maléfique qui donne vie à la mort qui se manifeste en toi.
Durant des années j’ai parcouru les forets de Bretonnie, les Montagnes du Bord du Monde, Les terres de Sylvanies, la foret des ombres, j’ai même traverser la terre des Trolls ou chaque seconde semblait être la dernière de mon existence.
Nombre de kobolds, d’hommes bêtes, de trolls et d’autres créatures répugnantes a souhait qui ne porte probablement pas de nom son tomber par mes armes.
Mais aucune trace du « Fossoyeur » comme ils t’appelaient.
Parmi la basse population, ne connaissant rien au monde qui les entoure, tu étais considéré comme un Mort se relevant pour chercher vengeance au mal qu’il a subi de son vivant, d’autre persuadés que tu étais notre génesis et pensait voir la fin de l’humanité arriver…
Et pour être franc, dans mon esprit d’ignorant, il m’est arriver de croire en certaines de ces histoires te concernant.
Arriver a l’âge ou tout humain fait inconsciemment le bilan de sa triste vie, voyant la fin de cette dernière s’approcher dans l’horizon du temps, j’ai constaté que toute ma vie je t’ai cherché, espérant pouvoir enfin boire au St Graal, mais les miens m’avait depuis longtemps oubliés, et, pour le temps qu’il me restais, je n’aurais probablement pas long à profiter du titre de chevalier du Graal, soixante ans est un age particulièrement avancé pour un chevalier, et déjà mes membres me semblait s’alourdir, et mes reflex s’endormaient doucement.
Je prit alors conscience que tu avais détruit mon destin, que de t’avoir chercher j’étais passer à coté d’une vie entière.
Et j’étais également persuader que jamais je ne croiserais ta route.
Durant ces années, dans les environs de Parravon, la ou tu avais autrefois sévis, on entendu parler du retour du « fossoyeur », et ma quête, motivée désormais plus par la haine envers toi et la soif de vengeance que par le sens de l’honneurs et du devoir, je partit immédiatement à ta recherche.
Je trouvais au détour d’un chemin dans la forêt celui qui semait terreur dans les bourgs, je sus longtemps plus tard que ce dernier m’attendait, il voulait croiser le fer en duel.
C’était également un Vampire, mais différent de toi, il était lourdement armurés.
De par mes recherches approfondies sur votre race, je reconnus l’un de ceux que l’on nommait « Dragon de Sang ».
Durant un nomment, j’ai regardé ce chevalier avec du respect, j’étais impressionné, et surtout jaloux et envieux… je passais mon temps a me torturer l’esprit sur ma vie raté et ma fin qui se faisait attendre alors que lui possédait l’éternité devant lui.
La Dame du Lac ne ma jamais mis sur la route de ma quête, elle ne ma pas reconnu comme digne de ses vertus, elle m’avait oubliée, et je ne devais ma survie qu’a mes talents de guerrier uniquement…. Puisque la divinité pour qui j’ai consacré ma vie ne me reconnaît pas, alors je ne la reconnaîtrais plus non plus, et, ci pour racheter ma vie gâcher au service d’une divinité capricieuse il me faut user des forces ténébreuse qui pourrait me procurer la vie éternelle, alors je le ferait.
Alors que toutes ces pensées me traversa l’esprit en un éclair, je regarda le Vampire et lui demanda alors l’impensable… je lui demanda de me transmettre le Baiser de sang, après une longue conversation sur mes motivation, et après avoir tenter de me faire changer d’avis, m’expliquant que la non-vie est un fardeaux, qu’elle est notre seule raison d’être, notre meilleur alliée, mais qu’elle se faisait encombrante, et imposait ses propres lois, je restait motivé à atteindre mon but.
Il me proposa alors un duel, il voulait me tester et fut surprit par mes capacités martiales et ma détermination.
Je réussis à le mettre à terre.
Je ne parvient tout de même pas à recevoir le baiser de sang, ni même de lui porter le coup fatal… mais je restait alors avec lui, avec ce dernier j’ai attaqué un village des miens, où j’ai tué de sang froid, ne voyant que ma volonté à recevoir le précieux présent.
Avec le temps je fini par satisfaire celui qui était désormais devenus mon Maître, et celui ci m’offrit finalement le baiser de sang, et depuis 200 ans, je suis l’un des votre, et je te cherche, désormais ma puissance peut rivaliser avec la tienne,
Et comme le destin fait bien les choses, me voici, 200 ans plus tard, jour pour jour, face à toi, je suis prêt a combattre celui qui fut dans mon esprit l’équivalent d’un dieu ténébreux semant la mort partout ou il passait.
Sort ta lame de son fourreau, car ce soir, Morrslieb serra témoin du combat de deux ennemis choisis par le destin, Hubert Felix Van Carstein, et Korandel de la lignée des Dragons de Sang… et ce soir, une immortalité vas s’éteindre. »