Paroles s'envolent
Publié: Lun 24 Nov 2003, 4:56
Une sorte d’église
Je voulais pour nous deux bien mieux qu'une croyance
Alors je t'ai trouvé une sorte d'église
Dont les murs ne sont pas couverts de faïence, ni de marbre
Les vitraux je les brise, les piliers sont des arbres
L'autel est un rocher tapissé de lichen
On y parle, ni pardon, ni péché
On n'y fait pas le commerce de douleurs et de peines
On n'y adore ni Dieu ni Diable
Mais la beauté des corps et le sort qui a mis ton amour dans mes veines
Je nous veux sans frontières, sans limites et sans lois
Je veux te respirer, te vivre et vivre en toi
Et croire qu'avant nous tout ça n'existait pas
Nous deux, nous méritons bien plus haut qu'une voûte
Alors je t'ai trouvé une plaine sans routes
Et sans autre limite que les points cardinaux
Et sans traces que celles de nos chevaux qui absorbent l'espace
Au sommet d'une colline j'allume une flamme
Pour qu'on sache qu'un homme une femme
Fêterons sous la Lune la nuit de l'origine
Sacrifice au bonheur de leurs âmes, au futur de leurs fils
Ici les Dieux s'adorent sans aucun artifice
Je nous veux sans frontières, sans limites et sans lois
Je veux te respirer, te vivre et vivre en toi
Et croire qu'avant nous tout ça n'existait pas {x2}
Je voulais pour nous deux bien mieux qu'une croyance
Alors je t'ai trouvé une sorte d'église
Dont les murs ne sont pas couverts de faïence, ni de marbre
Les vitraux je les brise, les piliers sont des arbres
L'autel est un rocher tapissé de lichen
On y parle, ni pardon, ni péché
On n'y fait pas le commerce de douleurs et de peines
On n'y adore ni Dieu ni Diable
Mais la beauté des corps et le sort qui a mis ton amour dans mes veines
Je nous veux sans frontières, sans limites et sans lois
Je veux te respirer, te vivre et vivre en toi
Et croire qu'avant nous tout ça n'existait pas
Nous deux, nous méritons bien plus haut qu'une voûte
Alors je t'ai trouvé une plaine sans routes
Et sans autre limite que les points cardinaux
Et sans traces que celles de nos chevaux qui absorbent l'espace
Au sommet d'une colline j'allume une flamme
Pour qu'on sache qu'un homme une femme
Fêterons sous la Lune la nuit de l'origine
Sacrifice au bonheur de leurs âmes, au futur de leurs fils
Ici les Dieux s'adorent sans aucun artifice
Je nous veux sans frontières, sans limites et sans lois
Je veux te respirer, te vivre et vivre en toi
Et croire qu'avant nous tout ça n'existait pas {x2}