La Femme et l'Ombre

Ecoutez, Nobles gens,
Belles Dames
Puissants guerriers,
L'étrange histoire
Que je vais vous conter !
En ces temps troublés
De guerres et de conflits
Où nombre,
perdent la vie..
La Dame et l'Ombre
Solitaires,
En une nuit,
Glissent et se faufilent
En territoires ennemi.
Qui sont-ils ?
Je ne sais.
Leurs visages dissimulés,
Qu'ont-ils donc à cacher ?
Au regards dérobés
A travers Bois,
Ils avancent
Méprisant des Lois !
Voyez-vous Nobles Gens,
Ils courrent et se faufilent
La Femme et l'Ombre,
Elle chuchotte
Il la guide.
Rejoignent-ils, cette bataille
Qui, non loin gronde ?
Que non !!
Ils avancent sur un autre front,
Tuer, ce soir n'est point leur mission.
Qui sont-ils ?
Je ne sais..
Quel funeste projet
à cette étrange équipée ?
Des amants pensez-vous ?
De jeunes mariés sans consentement ?
Et pourtant ....
Regardez !
Aucun anneau à leurs doigts,
aucun talisman.
Qui ? demanderez-vous
Deux assassins terribles et vengeurs,
Venus semer troubles et terreur !!!?
Et pourtant mes amis,
Aucun éclat de lame aiguisée,
à leur ceinture,
en cette nuit épuisée.
Deux fous ! conclurez-vous
Deux âmes en tourment
Perdues sur le chemin de la raison !?
Et pourtant, Nobles Gens
Voyez leurs pas décidés
Et comme ils savent se diriger !
Ils courrent, légers, l'un et l'autre,
L'Ombre et la Femme
Ni foux, ni amants, ni ennemis
Dans le secret de la nuit.
Peut-être alors
Qu'ouvrant vos oreilles
Plus grandement,
Et vos yeux suspicieux,
Vous pourrez trouver
Au coeur, de cet étrange tableau
La Vérité comme un joyau.
A la faveur de la lune,
Voyez la Dame,
au visage tatoué.
Ce qu'elle cache n'est pas une arme,
Mais un tout petit paquet.
Ce qu'elle porte et protège,
Sur son coeur,
Regardez !
C'est un bébé !
Ils courent et fuient,
Amis de la nuit,
Protégeant l'enfant,
Cette petite âme
Ce nouveau-né...
La Femme et l'Ombre
glissent et se faufilent.
Elle chuchottent
Il les guident.
Nobles Gens, Belles Dames,
Coeurs patients, Regards légers...
N'oubliez pas mon histoire
Lorsque vous doutrerez !
N'oubliez pas qu'au sein
De notre tableau hibernien
Fait de guerre et de trépas
Un joyau brille malgré le glas
Notre Amour, notre Honneur
Et notre Foi !
De ces fenêtres ouvertes, Mériam entend la chanson du Barde...
Il y a bien 20 ans qu'il n'était pas venu la chanter en ces lieux...
20 ans... déja...
Résignée, elle ferme les yeux... Hyliade sera bientot là !...
Belles Dames
Puissants guerriers,
L'étrange histoire
Que je vais vous conter !
En ces temps troublés
De guerres et de conflits
Où nombre,
perdent la vie..
La Dame et l'Ombre
Solitaires,
En une nuit,
Glissent et se faufilent
En territoires ennemi.
Qui sont-ils ?
Je ne sais.
Leurs visages dissimulés,
Qu'ont-ils donc à cacher ?
Au regards dérobés
A travers Bois,
Ils avancent
Méprisant des Lois !
Voyez-vous Nobles Gens,
Ils courrent et se faufilent
La Femme et l'Ombre,
Elle chuchotte
Il la guide.
Rejoignent-ils, cette bataille
Qui, non loin gronde ?
Que non !!
Ils avancent sur un autre front,
Tuer, ce soir n'est point leur mission.
Qui sont-ils ?
Je ne sais..
Quel funeste projet
à cette étrange équipée ?
Des amants pensez-vous ?
De jeunes mariés sans consentement ?
Et pourtant ....
Regardez !
Aucun anneau à leurs doigts,
aucun talisman.
Qui ? demanderez-vous
Deux assassins terribles et vengeurs,
Venus semer troubles et terreur !!!?
Et pourtant mes amis,
Aucun éclat de lame aiguisée,
à leur ceinture,
en cette nuit épuisée.
Deux fous ! conclurez-vous
Deux âmes en tourment
Perdues sur le chemin de la raison !?
Et pourtant, Nobles Gens
Voyez leurs pas décidés
Et comme ils savent se diriger !
Ils courrent, légers, l'un et l'autre,
L'Ombre et la Femme
Ni foux, ni amants, ni ennemis
Dans le secret de la nuit.
Peut-être alors
Qu'ouvrant vos oreilles
Plus grandement,
Et vos yeux suspicieux,
Vous pourrez trouver
Au coeur, de cet étrange tableau
La Vérité comme un joyau.
A la faveur de la lune,
Voyez la Dame,
au visage tatoué.
Ce qu'elle cache n'est pas une arme,
Mais un tout petit paquet.
Ce qu'elle porte et protège,
Sur son coeur,
Regardez !
C'est un bébé !
Ils courent et fuient,
Amis de la nuit,
Protégeant l'enfant,
Cette petite âme
Ce nouveau-né...
La Femme et l'Ombre
glissent et se faufilent.
Elle chuchottent
Il les guident.
Nobles Gens, Belles Dames,
Coeurs patients, Regards légers...
N'oubliez pas mon histoire
Lorsque vous doutrerez !
N'oubliez pas qu'au sein
De notre tableau hibernien
Fait de guerre et de trépas
Un joyau brille malgré le glas
Notre Amour, notre Honneur
Et notre Foi !
De ces fenêtres ouvertes, Mériam entend la chanson du Barde...
Il y a bien 20 ans qu'il n'était pas venu la chanter en ces lieux...
20 ans... déja...
Résignée, elle ferme les yeux... Hyliade sera bientot là !...